mercredi 6 janvier 2010

thursday december 17th - claude

David on the road

littéral, littoral
Parce que ce matin en s'apprêtant à partir pour la plage Elke nous dit "ah, il y a quinze jours je me suis baignée. oui elle est froide." Bon enfant je réponds let's do it et sa faisabilité s'installe ferme et rapide dans nos cerveaux. Elle dit courir, y aller. David dit Ouuuiiii. Deux larges serviettes de bain nous attendrissent
On prend le truck, et on traverse l'amercain beauty du desperate house, oui.
La plage, ciel bleu, vent glacé, personne, à poil, râle aigu puis grave, rétraction-expansion, le sexe de David s'incarne, my body warms the sea, i feel strong, râle again
David esquisse quelques essences de dolce vita, villégiature qu'il disait.
A la station essences les journaux sont anglophones, hispanophones et russes ou something not so far in the design.
Frida et Cap'tain sont restées utiliser leur forfait free time, on aimerait bien le dire à quel point c'était grandiose. Mais leur absorbtion nous déconcerne, nous restons dans le silence de la room sweet room.
Demain c'est jour de fête, et il faut qu'on se colle à la chose.
On place, déplace, colle, décolle, Captain nous a préparé une image de rêve, la disparition d'une ressource d'eau, lac sous le sunrise sur fond de montagne, réchauffement climatique. On fait du set, on mouline. Elke nous aide à la suspension du décor, elle est grande, on l'est moins, c'est beau, beau, beau.
Notre feu de bois, great too. Un duo d'harmonica euphorique sous l'oeil compatissant ou dépité de Cap'tain et Frida. Le film d'horreur ? Arrhh.
Plaintes diverses et grognement, sur sensation gutturale, éclairage aux bougies, c'est joli mais pas tout-à-fait l'idée. Dehors l'air est glacé, on freeze.

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